Intermart lance une initiative visant à commercialiser des aliments de qualité mais qui ne répondent pas aux critères esthétiques standard de commercialisation. De nombreuses sortes de fruits et légumes sont proposées à nos clients. Ce projet favorise la consommation d’aliments « moches », ceux dont le calibre, la taille et le format ne respectent pas les critères esthétiques appliqués aujourd’hui par les producteurs et les détaillants mauriciens. Intégrée à la Plateforme de Durabilité du Groupe Intermart, cette démarche contribue à réduire le gaspillage dans le pays, tout en créant une nouvelle opportunité d’utiliser ces aliments car, dans la plupart des cas, ils ne sont même pas proposés aux consommateurs en raison des critères esthétiques appliqués par les producteurs, les distributeurs et les commerçants.
A Maurice, comme dans le monde des milliers detonnes d’aliments sont gaspillées chaque année. Dans le monde, ce chiffre atteint 1,3 milliard de tonnes, d’après les données de la FAO, l’agence de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour l’Agriculture et l’Alimentation. Toujours d’après cet organisme, près de 30 % de ce qui est produit dans le monde est gaspillé et perdu avant même d’arriver sur la table du consommateur.
Pour combattre ce fléau, le Groupe Intermart a entrepris plusieurs démarches anti-gaspillage, faisant figure de précurseur à Maurice en lançant la commercialisation d’aliments ne répondant pas aux critères esthétiques dans le cadre du programme « 100 Formes», qui propose des fruits et légumes « moches » à un coût optimisé.
Cette démarche intègre le pilier central de la Plateforme de Durabilité de l’entreprise à Maurice, la lutte contre le gaspillage alimentaire, avec plusieurs initiatives visant à réduire le gaspillage des ressources naturelles, en particulier des aliments, dans son mode de fonctionnement.